Two terms describe the growing trend that combines physical activity with environmental exploration and stewardship: sport tourism and ecotourism. Both are growing industries across Canada. Sport tourism refers to travel which involves either observing or participating in a sporting event while staying apart from the tourists’ usual environment. Sport tourism is a fast-growing sector of the global travel industry and equates to a significant economic impact. Ecotourism is a type of nature-based tourism that emphasizes reducing or eliminating your environmental impact.

Sport tourism events play a vital role in enhancing the overall tourism infrastructure of a destination and can benefit the economy. According to Sport Tourism Canada, in 2019, tourism related to sport and recreation contributed $7.4 billion ($4.1 billion from domestic visitors and $3.3 billion from international visitors) to the Canadian economy. Sporting events attract visitors willing to spend, generate media coverage, and promote the destination’s image domestically and globally.

Ecotourism seeks to protect natural areas by incentivizing their preservation. It can include hiking, camping, birdwatching, going on safari, surfing, or even simple nature walks. There are two types of ecotourism:

  • Soft ecotourism is typically more accessible. It requires less physical exertion, less disconnection from civilization, and is typically accessed through an ecotourism-based business or a government agency. Soft ecotourism provides a relatively effortless way to experience nature. Soft ecotourism can be as simple as going for a stroll in your nearest park and watching the birds and plants.
  • Hard ecotourism involves immersing oneself in nature, often without the amenities and services we typically depend on in society. This form of ecotourism demands greater self-sufficiency and physical conditioning, akin to primitive camping in remote, unsupervised wilderness areas.

Ecotourism does not always lead to positive outcomes; it can sometimes result in environmental harm and interfere with local or Indigenous customs.

Deux termes décrivent la tendance croissante qui associe l’activité physique à l’exploration et à la gestion de l’environnement : le tourisme sportif et l’écotourisme. Ces deux secteurs sont en pleine expansion au Canada. Le tourisme sportif désigne les voyages qui consistent à observer ou à participer à une activité sportive tout en restant à l’écart de l’environnement touristique habituel. Le tourisme sportif est un secteur de l’industrie mondiale du voyage qui connaît une croissance rapide et dont les retombées économiques sont considérables. L’écotourisme est plutôt axé sur la nature et met l’accent sur la réduction ou l’élimination de l’impact environnemental.

Les manifestations de tourisme sportif jouent un rôle essentiel dans l’amélioration de l’infrastructure touristique d’une destination et peuvent être bénéfiques pour l’économie. Selon Tourisme sportif Canada, le tourisme lié au sport et aux loisirs a contribué en 2019 à hauteur de 7,4 milliards de dollars à l’économie canadienne (4,1 milliards de dollars provenant des visiteurs canadiens et 3,3 milliards de dollars provenant des visiteurs étrangers). Les manifestations sportives attirent des touristes prêts à dépenser, génèrent une couverture médiatique et promeuvent l’image de la destination à l’échelle nationale et internationale.

L’écotourisme vise à protéger les zones naturelles en encourageant leur préservation. Il comprend des activités de randonnée, de camping, d’observation des oiseaux, de safari, de surf ou même de simples promenades dans la nature. Il existe deux types d’écotourisme :

  • L’écotourisme doux est généralement plus accessible. Il demande moins d’efforts physiques, ne comporte pas de coupure totale avec la civilisation et est généralement accessible par l’intermédiaire d’une entreprise d’écotourisme ou d’une agence gouvernementale. L’écotourisme doux permet de découvrir la nature sans trop d’efforts. L’écotourisme doux peut être aussi simple que de se promener dans le parc le plus proche et d’observer les oiseaux et les plantes.
  • L’écotourisme pur et dur consiste à s’immerger dans la nature, souvent sans les commodités et les services dont nous dépendons généralement dans la société. Cette forme d’écotourisme exige une plus grande autosuffisance et une meilleure condition physique, à l’instar du camping primitif dans des zones sauvages éloignées et non surveillées.

L’écotourisme n’a pas toujours des effets positifs; il peut parfois nuire à l’environnement et interférer avec les coutumes locales ou autochtones.