The COVID-19 pandemic created or exacerbated many challenges for the sector. ReImagine RREC, through an extensive literature review and consultation process, was among the first reports to document the impacts, outcomes, and opportunities for the sector that resulted from COVID-19.

There are three particularly noteworthy opportunities for the sector resulting from the pandemic. First, the public went outside! They enjoyed parks, trails, lakes, streams, streets, and sidewalks. We would be well served to capitalize on that momentum and develop policies, practices, and programs that keep people outdoors and active. Second, it is important to continue providing information and inspiration which was evident and robust during the pandemic. The public should be routinely reminded of the mental and physical benefits of connecting to nature, increasing physical activity, and pursuing a range of indoor and outdoor recreational activities. The third opportunity was the increased profile of recreation and community services departments, which adapted quickly to the crisis. These departments played a vital role in crisis response, pivoting to deliver a much-expanded range of community services (e.g., vaccination centres). The pandemic highlighted the significant role the sector plays and can continue to play in crisis preparedness and response.

There were and continue to be significant human resource implications for the sector. While not limited to aquatics, this challenge was particularly evident with lifeguards and swim instructors. Pools were not able to offer training, which created a shortage of aquatics professionals resulting in a range of challenges including reduced operating capacity, fewer staff to deliver programming, and increased risk to the public because vulnerable groups, including children and new Canadians, were not able to participate in Swim to Survive programs. The shortage across the sector meant that once programming resumed, there was a lack of staff for a range of activities and programs.

La pandémie de COVID-19 a créé ou exacerbé de nombreux défis pour le secteur. Le rapport RÉCRÉvolution a été l’un des premiers à documenter les répercussions, les résultats et les opportunités pour le secteur résultant de la COVID-19, grâce à une analyse documentaire et à une consultation approfondies.

La pandémie offre trois opportunités particulièrement intéressantes pour le secteur. D’abord, le public est sorti en plein air pour profiter des parcs, des sentiers, des lacs, des cours d’eau, des rues et des trottoirs! Nous serions bien inspirés de tirer parti de cette dynamique et d’élaborer des politiques, des pratiques et des programmes qui permettent aux gens de rester en plein air et actifs. Deuxièmement, il importe de continuer à diffuser de l’information et à prodiguer des encouragements comme nous l’avons fait de façon évidente au plus fort de la pandémie. Il convient de rappeler régulièrement au public les bienfaits sur le plan mental et physique du contact avec la nature, de l’augmentation de l’activité physique et de la pratique d’activités récréatives à l’intérieur et à l’extérieur. La troisième opportunité a été la visibilité accrue des services de loisirs et de services communautaires, qui se sont rapidement adaptés à la crise. Ces services se sont investis de façon cruciale dans la réponse à la crise, en pivotant pour fournir une gamme beaucoup plus large de services communautaires (par exemple, centres de vaccination). La pandémie a mis en évidence le rôle éminent du secteur dans la préparation et la réponse aux crises passées et à venir.

En ce qui concerne les ressources humaines, le secteur doit composer avec d’importantes contraintes. Bien qu’il ne se limite pas aux activités aquatiques, ce défi est particulièrement évident dans le recrutement des maîtres-nageurs et des instructeurs de natation. Les piscines ne pouvaient pas proposer de formation, ce qui a créé une pénurie de professionnels aquatiques, entraînant une série de problèmes, notamment une réduction de la capacité d’exploitation, une diminution du personnel chargé de la mise en œuvre des programmes et un risque accru pour le public, car les groupes vulnérables, notamment les enfants et les nouveaux arrivants au pays, ne pouvaient participer aux programmes de natation pour la survie. La pénurie dans l’ensemble du secteur s’est traduite par un manque de personnel pour toute une série d’activités et de programmes après la reprise des services.