Equity Diversity, Inclusion, Access, and Belonging

The words ”Equity, Diversity, Inclusion, Access, and Belonging” have appeared much more frequently in the past few years. To enhance the client experience in recreation settings, including parks, community centres, and faith-based centres, attempts to make all people feel welcome and comfortable are critically important. In Canada, most Canadians (72%) have reported that they find physical activity and sport opportunities welcoming and inclusive to a moderate or great extent, and 62% find the opportunities accessible to a moderate or great extent (CFLRI, 2019-2021 Physical Activity Monitor, custom tabulation). Although these overall findings are positive, there are some differences in these perceptions with age and household income, which suggests room for improvement. We can further advance EDIAB by thinking carefully about hiring practices, retention strategies, physical and social surroundings, and organizational culture.

For 40 years, the Sport, Physical Activity, and Recreation (SPAR) sector has been addressing issues related to equity, diversity, inclusion, access, and belonging. Organizations like Canadian Women and Sport (CWS)[1], the Active Living Alliance for Canadians with a Disability (ALACD), and Active Aging Canada[2], along with initiatives such as the Affordable Access to Recreation for Ontarians Policy Framework by Parks and Recreation Ontario, and Sport for Life’s All Newcomers to Canada: Creating Inclusion of Newcomers in Sport and Physical Activity, have prioritized boosting participation in SPAR among equity-denied groups to address equity issues. However, the pandemic made evident that our efforts have not resulted in full inclusivity. Initiatives that make opportunities for sport, physical activity, and recreation more equitable are still needed. We must also continue to develop an understanding of how intersectionality (the overlay of social identities – e.g., race, gender, age, ability) can impact how people differently experience discrimination. .

Of note:

  • A report from the Centre for Sport Policy Studies, The Implications of COVID -19 for Community Sport and Sport for Development, emphasizes that socio-economic status is the strongest determinant of health and the strongest determinant of participation in recreational sport and physical activity. It is critical, therefore, for the sector and its allied partners to work together to address program funding and policies that address socio-economic status, which often also relate to other equity-denied groups.
  • Racism in our community remains a significant issue in Canada. Providers in the sector have an opportunity to address racism through programs, policies, and workforce recruitment and retention strategies. These strategies should include education of recreation professionals about the cause and effects of racism in the sector and their role in preventing it. The sector must respect the expertise of people with lived/living experience.
  • During the pandemic, a significant number of Canadians moved from large cities to smaller population centres, and many moved to different provinces. The sector should seek additional information about these migration patterns to understand both the challenges and opportunities to recreation delivery, particularly in rural areas.

[1] Formerly the Canadian Association for the Advancement of Women in Sport (CAAWS)

[2] Formerly the Active Living Coalition for Older Adults

On a fait référence plus fréquemment aux mots « équité », « diversité », « inclusion », « accès » et « appartenance » ces dernières années. Pour améliorer l’expérience des usagers dans les lieux de loisirs, y compris les parcs et les centres communautaires et confessionnels, il faut tenter de bien accueillir tout le monde et de mettre les gens à l’aise. La plupart des Canadiens (72 %) ont déclaré qu’ils trouvaient les programmes d’activité physique et de sport moyennement ou très accueillants et inclusifs, et 62 % les trouvaient moyennement ou très accessibles (ICRCP, Sondage indicateur de l’activité physique 2019-2021, tabulation personnalisée). Bien que ces résultats soient positifs, il existe des différences dans ces perceptions en fonction de l’âge et du revenu du ménage, ce qui laisse entrevoir des possibilités d’amélioration. Nous pouvons faire progresser les principes d’EDIAA en réfléchissant attentivement aux pratiques d’embauche, aux approches pour le maintien de la participation, au milieu physique et social et à la culture organisationnelle.

Le secteur du sport, de l’activité physique et des loisirs cherche à résoudre les problèmes liés à l’équité, la diversité, l’inclusion, l’accès et l’appartenance depuis plus de 40 ans. Des organismes tels que Femmes et sport au Canada[1], l’Alliance de vie active pour les Canadiens/Canadiennes ayant un handicap et Vieillir Activement Canada[2], ainsi que des programmes tels que Affordable Access to Recreation for Ontarians Policy Framework par Parks and Recreation Ontario et le document « Le sport c’est pour la vie pour tous les nouveaux arrivants au Canada : Inclusion des nouveaux arrivants dans le milieu du sport et de l’activité physique », ont donné la priorité à la participation accrue aux sports, à l’activité physique et aux loisirs parmi les groupes en quête d’équité afin de résoudre les problèmes d’équité. Toutefois, la pandémie a montré que nos efforts n’ont pas abouti à une inclusion totale. Il nous faut encore agir pour rendre plus équitables les activités sportives, physiques et récréatives. Nous devons également continuer à comprendre comment l’intersectionnalité (la superposition d’identités sociales, par exemple, la race, le genre, l’âge, les compétences) peut influer sur la manière dont les personnes vivent la discrimination.

À noter :

  • Un rapport du Centre for Sport Policy Studies de l’Université de Toronto intitulé « The Implications of COVID-19 for Community Sport and Sport for Development» souligne que le statut socioéconomique est le principal déterminant à la fois de la santé et de la pratique du sport récréatif et de l’activité physique. Il est donc essentiel que le secteur et ses partenaires collaborent au financement de programmes et aux politiques concernant le statut socioéconomique, qui s’appliquent souvent à d’autres groupes en quête d’équité.
  • Le racisme reste un problème important au sein de la société canadienne. Les fournisseurs de services du secteur ont la possibilité de lutter contre le racisme par l’entremise de programmes, de politiques et d’approches de recrutement et de fidélisation de la main-d’œuvre. Ces approches devraient inclure la formation des professionnels des loisirs sur les causes et les effets du racisme dans le secteur et leur rôle dans la prévention de ce phénomène. Le secteur doit respecter l’expérience des personnes ayant vécu du racisme.
  • Pendant la pandémie, un grand nombre de gens ont quitté les grandes villes pour s’installer dans des agglomérations plus petites (lien en anglais) et beaucoup ont changé de province. Le secteur devrait recueillir des données sur ces schémas de migration afin de comprendre les défis et les opportunités pour l’offre de loisirs, en particulier en zones rurales.

[1] Anciennement la Canadian Association for the Advancement of Women in Sport.

[2] Anciennement, la Coalition d’une vie active pour les aîné(e)s.