Engaging in sport, physical activity and recreation is proven to promote good physical, mental, and social health. Moreover, physical inactivity accounts for $3.9 billion of annual health care expenditures.[1]
Health-enhancing physical activity helps to decrease the risk of non-communicable diseases such as cardiovascular disease, stroke, type II diabetes, high blood pressure, osteoporosis, and certain cancers. Further, participating in these activities improves immune response, thereby decreasing the risk of contracting communicable diseases such as COVID-19. As we prepare for a future that will include other crises, like another pandemic, increasing physical activity may help reduce infection rates and slow the spread of disease.[2]
There is a growing mental health crisis in Canada that includes a troubling rise in substance abuse, people experiencing homelessness, and all the associated challenges. Some reasons for this include public health restrictions during the pandemic that led to social isolation, economic hardship, and climate anxiety, among others. During the pandemic, Canadians sought solace by participating in recreational pursuits and rediscovering and reconnecting with nature. It is important now, more than ever, to create opportunities, environments, and circumstances that support Canadians so they can continue to pursue recreational activities that contribute to improving mental and physical wellbeing. Reducing levels of social isolation and loneliness that became even more pronounced during the pandemic must be a priority.
The sector delivers real, quantifiable value in promoting and improving mental and physical health and social connectedness. It must be more intentional about promoting the impact of its significant contribution to society. In a recent survey, most Canadians (70%-76%) said that sport, physical activity, and recreation contributes to: feeling welcomed or included; feeling networked or connected to the community; feeling a sense of community cohesion or community pride; and feeling a sense of trust and reliance in the community. It would be hard to overstate the role the sector can play, and at a relatively low cost, in reducing risk factors and contributing to solutions that improve overall health and quality of life, while reducing the burden on our faltering health care system, saving lives and billions of dollars.
[1] Measuring the Impact of Sport, Physical Activity, and Recreation in Canada (https://measuring-impact.ca/impact/health-impact/). Accessed March 2024.
[2] Sources: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10468187/#:~:text=Overall%2C%20most%20studies%20indicated%20that,3
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8038831/
https://bjsm.bmj.com/content/56/10/568. All accessed March 2024.
Il est prouvé que la pratique d’un sport, d’une activité physique ou d’un loisir favorise une bonne santé physique, mentale et sociale. Par ailleurs, la sédentarité est à l’origine de 3,9 milliards de dollars de dépenses annuelles en soins de santé[1].
L’activité physique bénéfique pour la santé contribue à réduire le risque de maladies non transmissibles telles que les maladies cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux, le diabète de type II, l’hypertension artérielle, l’ostéoporose et certains cancers. En outre, la participation à ces activités améliore la réponse immunitaire, diminuant ainsi le risque de contracter des maladies transmissibles telles que la COVID-19. Alors que nous nous préparons à un avenir qui comportera d’autres crises, comme une autre pandémie, l’augmentation de l’activité physique peut contribuer à réduire les taux d’infection et à ralentir la propagation de la maladie[2].
Le Canada connaît une crise de santé mentale de plus en plus grave, qui s’accompagne d’une augmentation inquiétante de la toxicomanie, du nombre de sans-abri et de tous les problèmes qui s’ensuivent. Cela s’explique notamment par les restrictions en matière de santé publique pendant la pandémie, qui ont conduit à l’isolement social, aux difficultés économiques et à l’anxiété climatique, entre autres. Pendant la pandémie, les gens ont cherché à se réconforter en pratiquant des activités récréatives et en redécouvrant la nature. Aujourd’hui plus que jamais, il nous faut créer des occasions, des environnements et des circonstances favorables à la pratique d’activités récréatives qui contribuent à améliorer le bien-être mental et physique de la population. La réduction de l’isolement social et de la solitude, qui se sont encore accentués pendant la pandémie, doit être une priorité.
Le secteur apporte une valeur réelle et quantifiable en encourageant la santé mentale et physique, ainsi qu’en créant des liens sociaux. Il doit s’efforcer de promouvoir davantage son apport social appréciable. Dans une enquête récente, la plupart des Canadiens (70 % à 76 %) ont déclaré que le sport, l’activité physique et les loisirs contribuaient à un sentiment d’accueil et d’appartenance, au fait de se sentir comme faisant partie d’un réseau ou d’une communauté, à un sentiment de cohésion sociale ou de fierté collective et à un sentiment de confiance et de fiabilité envers la collectivité. On ne saurait trop insister sur le rôle que le secteur peut jouer, à un coût relativement faible, pour réduire les facteurs de risque et contribuer à des solutions qui améliorent la santé globale et la qualité de vie, tout en réduisant la charge qui pèse sur notre système de soins de santé défaillant, ce qui permet de sauver des vies et d’économiser des milliards de dollars.
[1] Mesurer l’incidence du sport, de l’activité physique et des loisirs au Canada (https://measuring-impact.ca/fr/incidence/sante/). Consulté en mars 2024.
[2] Sources (en anglais) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10468187/#:~:text=Overall%2C%20most%20studies%20indicated%20that,3
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8038831/
https://bjsm.bmj.com/content/56/10/568.https://bjsm.bmj.com/content/56/10/568.
Tous ces documents ont été consultés en mars 2024.